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Monthly Archives: février 2014

Ingenico rejoint le W3C pour améliorer le paiement sur le web

28 février 2014

ingenico W3C member

Ingenico s’engage aujourd’hui auprès du W3C pour préparer les futurs standards qui permettront une utilisation toujours plus sécurisée du paiement sur internet.

Acteur historique du paiement électronique en magasin, Ingenico est pleinement engagé dans la révolution digitale, avec ses investissements dans le paiement mobile et sur internet. Il propose aujourd’hui aux commerçants des solutions fiables et sécurisées sur toute la chaine de valeur du paiement, quel que soit le canal (en magasin, en ligne et mobile). Ses solutions facilitent cette convergence et accélèrent le développement des expériences utilisateurs multicanal et cross-canal.

Ingenico croit fermement que seuls les standards de paiement, ouverts et interopérables, permettront le développement durable d’un écosystème qui connait une évolution majeure avec la multiplication des objets connectés. C’est en ce sens que le Groupe entend s’investir au sein du consortium W3C en s’appuyant sur ses 30 ans d’expérience dans le paiement électronique pour participer à la définition des standards du paiement de demain.

A propos d’Ingenico
Ingenico est leader mondial des solutions de paiement, permettant aux banques et à la grande distribution d’optimiser leurs activités de paiement, quel que soit le canal de vente (en magasin, su Internet et sur mobile) et quelque soit leur moyen de paiement. Grâce à une offre optimisée, sécurisée et multicanal, Ingenico se positionne au cœur de la relation entre commerçants et consommateurs. Avec un revenu de 1,3 Md d’euros en 2013 et 4.500 employés, Ingenico est actif dans plus de 125 pays sous les marques Ingenico, easycash, Ogone, ROAM et Landi.

Supportez les initiatives pour la sécurité web sur « the day we fight back »

15 février 2014

Nous voyons la surveillance de masse comme une attaque du Web et de ses utilisateurs. Le Web est pour tout le monde. La communauté W3C crée des protocoles et des formats pour permettre aux individus et aux groupes de communiquer avec ceux qu’ils souhaitent, et pour les protéger contre les écoutes de tiers.

Les vulnérabilités à l’espionnage web menacent d’éroder la confiance dans le Web et dans les entreprises qui en dépendent, et c’est une des raisons pour lesquelles de nombreuses organisations du Web et d’Internet se sont mobilisés l’automne dernier, dans la Déclaration de Montevideo.

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